Le Duc d'Anga vaut bien un manga, le Duc d'Anguein le vaut très bien · Corrigeant Jean Sévillia sur quelques points · Nicolas II et la Révolution
Je commence ceci comme ébauche 667. Un rapport à Nicolas II? Oui.
N | 78 | 070 | 8 | 620 |
I | 73 | 140 | 11 | +47 |
C | 67 | 200 | 18 | 667 |
O | 79 | 270 | 27 | |
L | 76 | 340 | 33 | |
A | 65 | 400 | 38 | |
S | 83 | 480 | 41 | |
I | 73 | 550 | 44 | |
I | 73 | 620 | 47 |
Et si quelque part le Communisme est "la bête" (quoique 100 ans ou plus avant "la bête finale"), Nicolas II était effectivement "voisin de la bête". Comme 667 est un nombre voisin de 666.
Revenons à 667, a Nicolas II. À une conférence le 9.XI, jeudi semaine dernière, j'avais posé la question si la politique de Dénikine aurait pu sauver le régime de Nicolas II.
Le conférencier n'avait pas tout à fait capté de quoi je parlais. Il pensait, peut-être la personne Dénikine comme général, et c'est très correct qu'il était encore trop jeune en 1905. Ou il pensait à la politique de réformes constitutionnelles, et il avait raison que celles-ci étaient insuffisantes, y compris celles qui se mettaient en place alors, et auraient peut-être eu un effet plutôt "centrifugue", d'accélérer les querelles et donc la dissolution de l'Empire, géographiquement et surtout constitutionnellement, comme l'autocratie de Nicolas II, et que celui-ci n'aurait pas voulu gerer ceci.
Non, la politique de Dénikine dont je parle est celle-ci:
La politique de Dénikine
Sur les territoires contrôlés par les Forces Armées du Sud de la Russie tous les pouvoirs revenaient à Dénikine en tant que commandant en chef. À ses côtés, le « conseil spécial » remplissait les rôles d'exécutif et de législatif. Investi de facto de pouvoirs dictatoriaux et partisan d'une monarchie constitutionnelle Dénikine ne se reconnaissait pas le droit de décider du régime d'un futur État russe avant la réunion d'une assemblée constituante. Il tenta de rassembler de larges couches de la population autour du mouvement blanc sous les devises « combattre le bolchévisme jusqu'à la fin », « une Russie grande, unie et indivisible », « libertés politiques ». Cette attitude était critiquée par les monarchistes ainsi que par les libéraux. L'appel à une Russie unie et indivisible rencontra l'opposition des gouvernements cosaques du Don et du Kouban qui recherchait une autonomie plus grande et une Russie fédérale, de même les nationalistes ukrainiens, caucasiens et baltes ne pouvaient s'y retrouver. En même temps, un semblant de vie normale s'installait à l'arrière du front. Là où les conditions le permettaient les usines et fabriques se remirent à fonctionner, le transport ferroviaire et fluvial repris, les banques et le commerce poursuivaient leurs activités. Le prix des produits de l'agriculture fut fixé, une loi contre la spéculation promulguée, les tribunaux et les institutions de gouvernement local réinstaurés, de nombreux partis existaient librement (y compris les socialistes révolutionnaires et les sociaux-démocrates), la presse était presque totalement libre. Le conseil spécial de Dénikine instaura une législation du travail progressiste (journées de travail de huit heures, sécurité du travail), toutefois la désorganisation de l'industrie fit que cette législation ne trouva que peu de domaines d'application.
Le gouvernement de Dénikine n'eut pas le temps de mettre en œuvre la réforme agraire qu'il avait préparée. Son objectif était de renforcer les petites et moyennes exploitations aux dépens de terres de l’État et des grands propriétaires fonciers. Une loi provisoire de Koltchak était en vigueur, spécifiant que jusqu'à la réunion d'une assemblée constituante la terre restait en possession de celui qui la possédait de facto. La reprise de force des terres par d'anciens propriétaires n'était pas tolérée.
La position de Dénikine sur la question linguistique en Ukraine est exposée dans le manifeste À la population de la Petite Russie (1919) : « Je déclare que la langue officielle sur tout le territoire de la Russie est le russe mais j'estime qu'il est inacceptable et j'interdis de réprimer la langue petit-russe. Chacun peut parler dans les institutions locales, zemstvo, lieux publics et tribunaux en petit-russe. Les écoles locales financées sur des fonds privés peuvent enseigner dans n'importe quelle langue. Les écoles publiques… peuvent instaurer des cours de la langue populaire petit-russe… Également il n'y aura pas de barrière pour la langue petit-russe dans la presse5 »…
De https://fr.wikipedia.org/wiki/Anton_D%C3%A9nikine
Conférons:
Nouveau général en chef
En mars 1920, l'Armée blanche subit de nouvelles défaites et est refoulée vers la Crimée. Dénikine n'a plus le choix ; il doit démissionner. Le 4 avril, à Sébastopol, Wrangel participe au grand Conseil des généraux blancs et reçoit les pleins pouvoirs. À la tête de l'Armée russe, il combat les bolcheviks au sud de la Russie.
Wrangel, tente de trouver une solution non seulement militaire mais aussi politique à la situation de son pays. Il croit à une république disposant d'un exécutif fort et d'une classe dirigeante compétente. En Crimée, il crée une république provisoire qui, selon lui, pourrait attirer les populations déçues du régime bolchévique. Son programme politique consiste à donner les terres à ceux qui y travaillent et à garantir la sécurité du travail aux plus défavorisés. Malgré l'avertissement des Britanniques lui annonçant qu'ils cessent leur assistance, il réorganise l'Armée blanche de Crimée, qui ne comprend que 25 000 hommes. Moscou est alors en guerre contre la Pologne de Pilsudski et il compte sur des victoires de ce dernier pour consolider son pouvoir.
Le 13 avril, une première attaque rouge sur l'isthme de Perekop est aisément repoussée. Il lance alors une contre-attaque et parvient à s'emparer de Melitopol et de la Tauride du Nord.
De : https://fr.wikipedia.org/wiki/Piotr_Nikola%C3%AFevitch_Wrangel
Ne croyez pas que la wikipédie ait oublié l'implication possible, éventuelle, en des pogromes (à peu près aussi soupçonnable que celle de Franco dans les malfaits de Badajoz ou Guernica, il absentait des ces lieux quand ça avait lieu), c'est juste que ce soupçon n'est pas mon propos. Qu'il ait pu être indirectement impliqué dans un pogrom est regrettable. Mais cette éventualité ne change pas la bonté "limité" ou "dans la domaine économique" que la politique évoqué dans les paragraphes cités a pu avoir malgré ça. Et cette bonté était bien-sûr plus générale là où il n'y avait pas de pogroms, et sa bonté personnelle à cette époque dépend aussi de ne pas avoir été impliqué en ça.
Donc, prenons les points un par un.
Sur les territoires contrôlés par les Forces Armées du Sud de la Russie tous les pouvoirs revenaient à Dénikine en tant que commandant en chef. À ses côtés, le « conseil spécial » remplissait les rôles d'exécutif et de législatif. Investi de facto de pouvoirs dictatoriaux ...
Ceci ne diffère pas grand'chose des pouvoirs de Nicolas II, et en lui ces pouvoirs étaient encore dorés de légitimité.
Dénikine ne se reconnaissait pas le droit de décider du régime d'un futur État russe avant la réunion d'une assemblée constituante.
Ceci étant une politique négative, une absence de politique, ce n'est pas ce que je voulais dire.
Il tenta de rassembler de larges couches de la population autour du mouvement blanc sous les devises « combattre le bolchévisme jusqu'à la fin », « une Russie grande, unie et indivisible », « libertés politiques ».
Pas trop différent des "Noirs Cents" ou "Noirs Centaines" sous le Czar, donc. Ceci en soi était insuffisant.
Cette attitude était critiquée par les monarchistes ainsi que par les libéraux.
Voilà pourquoi c'était insuffisant, comme l'avaient été les politiques du Czar dans ce sens (ou quelque part).
En même temps, un semblant de vie normale s'installait à l'arrière du front.
Ah, ce qu'il fallait un peu plus tôt pour avoir évité la Révolution d'Octobre ... comment, alors?
Là où les conditions le permettaient les usines et fabriques se remirent à fonctionner, le transport ferroviaire et fluvial repris, les banques et le commerce poursuivaient leurs activités.
Une non-implication à côté de la Serbie, une non-participation dans la guerre, aurait pu être bonne? Comme ça aurait été bien de François Joseph de ne pas faire un ultimatum à tout un pays pour permettre à la propre police de poursuivre un malfaiteur (quoique, la même chose fut faite par Bush contre les Talibans après le fameux Onze Novembre).
La guerre entre l'Empereur de l'Occident François Joseph et celui d'Orient Nicolas II, possiblement aussi de la continuer envers Charles I - aussi un homme très saint en plus de représenter un saint empire, c'était un désastre apocalyptique.
Sans la guerre, la vie normale aurait pu rester en place. Les perturber n'est pas toujours illicite, n'est pas toujours néfaste, mais cette fois, au moins ce devenait catastrophique.
Le prix des produits de l'agriculture fut fixé, une loi contre la spéculation promulguée, les tribunaux et les institutions de gouvernement local réinstaurés, de nombreux partis existaient librement (y compris les socialistes révolutionnaires et les sociaux-démocrates), la presse était presque totalement libre. Le conseil spécial de Dénikine instaura une législation du travail progressiste (journées de travail de huit heures, sécurité du travail), toutefois la désorganisation de l'industrie fit que cette législation ne trouva que peu de domaines d'application.
Passons sur le fonctionnement normal des institutions, déjà abordé. Passons un peu sur la partie libérale, la vaste majorité s'intéressaient peut-être plutôt à:
Le prix des produits de l'agriculture fut fixé, une loi contre la spéculation promulguée, ... Le conseil spécial de Dénikine instaura une législation du travail progressiste (journées de travail de huit heures, sécurité du travail), toutefois la désorganisation de l'industrie fit que cette législation ne trouva que peu de domaines d'application.
Ah ... avec ceci peut-être la déloyauté des Soviètes aurait pu être évité?
Le gouvernement de Dénikine n'eut pas le temps de mettre en œuvre la réforme agraire qu'il avait préparée. Son objectif était de renforcer les petites et moyennes exploitations aux dépens de terres de l’État et des grands propriétaires fonciers. Une loi provisoire de Koltchak était en vigueur, spécifiant que jusqu'à la réunion d'une assemblée constituante la terre restait en possession de celui qui la possédait de facto. La reprise de force des terres par d'anciens propriétaires n'était pas tolérée.
Ah, excellent. Si la classe ouvrière indistrielle était grande, la classe agraire l'était davantage. Et sa plainte, déjà en 1905, était, selon le conférencier, la terre. Ils rêvaient de distribuer la terre. Les Communistes prétendaient donner de la terre "aux paysans", mais, comme le conférencier précisait, pas vraiment individuellement, mais collectivement. Dénikine en ceci répondait davantage aux aspirations des paysans que ne le faisaient les Rouges.
La position de Dénikine sur la question linguistique en Ukraine est exposée dans le manifeste À la population de la Petite Russie (1919) : « Je déclare que la langue officielle sur tout le territoire de la Russie est le russe mais j'estime qu'il est inacceptable et j'interdis de réprimer la langue petit-russe. Chacun peut parler dans les institutions locales, zemstvo, lieux publics et tribunaux en petit-russe. Les écoles locales financées sur des fonds privés peuvent enseigner dans n'importe quelle langue. Les écoles publiques… peuvent instaurer des cours de la langue populaire petit-russe… Également il n'y aura pas de barrière pour la langue petit-russe dans la presse5 »…
Ah, encore excellent!
Les Czars s'étaient fait impopulaire en réprimant les nationalismes. Le conférencier notait que la langue polonaise était interdite. En études de l'histoire culturelle de la Lituanie, j'ai appris que le Lituanien était accepté - si imprimé en cyrillique, ce qui était en son tour inacceptable aux patriotes lituaniens : la langue est une langue de tradition écrite dans l'alphabet latin. Imaginez si on avait imposé aux Français ou aux Allemands ou aux Anglias de désormais écrire leur langue en cyrillique!
Les mesures étaient inefficaces, grâce à Dieu, car Henryk Sienkiewicz pouvait facilement se faire imprimer en Pologne prussienne ou en Pologne autrichienne, et Mikalojus Konstantinas Čiurlionis ou l'abbé "Maironis" en Petite Lituanie (Lituanie prussienne). Mais elles étaient vexatoires. Si comme Dénikine, les derniers Czars avaient évité cette mesure vexatoire un peu avant ...
Regardons Wrangel:
Il croit à une république disposant d'un exécutif fort et d'une classe dirigeante compétente. En Crimée, il crée une république provisoire qui, selon lui, pourrait attirer les populations déçues du régime bolchévique.
Là, moins importante pour la vaste majorité, et encore moins possible à réaliser pour les Czars dans les conditions de paix, sans la révolution.
Son programme politique consiste à donner les terres à ceux qui y travaillent et à garantir la sécurité du travail aux plus défavorisés.
Tout en ne pas étant communiste, toute en créant encore de koulaks, il est aussi pas capitaliste. Il ne se fige pas sur la propriété juridique d'un terrain (un peu comme l'abbé Sturzo en Italie, selon les dires de Chesterton), il ne garantit pas une pleine souveraineté de propriété sur les entreprises, car il dispose des entraves au licenciement.
Si les politiques ici-même citées avaient été appliquées dès 1905, ça aurait fait mieux que - au moins dans l'immédiat - le fameux pardon pour ceux qui avaient été dans le cortège qui cherchait de juste parler au Czar. Ceux qui disent que la Czar est un saint pourraient par contre dire que ce pardon était prophétique, un pardon pour les pauvres qui se faisaient rouler par les Communistes en faisant le sit-in révolutionnaire sans de savoir que les Communistes qu'ils mettaient en place étaient des fourbes qui allaient empirer les choses beaucoup après (et en Ukraine on dirait : y compris pour le pain).
Est-ce que le conférencier a précisé que même ça n'aurait pas suffi? Non. Il n'a pas compris que ceci était ce que je visais.
Ou peut-être a-t-il voulu dire que cette politique était impossible depuis l'assassinat sur Alexandre II?
Possible. Je crois qu'il évoquait ça. Ceci me mène à la question "de suite" que je posais en dialogue : les dékabristes, étaient-ils inspirés par les gens qui avaient en Suède:
- assassiné Gustave III en 1792
- et déposé, incarcéré et forcé à abdiquer, son fils, Gustave IV Adolphe en 1809?
Le conférencier semblait croire que la comparaison avec la Suède ne convenait pas. La Russie étant une autocratie sans beaucoup d'institutions démocratiques ou parlementaires. Au contraire, la Suède était autocratique entre 1771 et 1809, le parlementarisme qu'on avait eu entre 1718 et 1771 était banquerotte quand Gustave III faisait sa révolution, et cette constitution ne fut même pas copié en 1809, mais plutôt celle sous le temps de Gustave II Adolphe, de la Guerre de Trente ans - assez autocratique aussi, quoique moins que le Czarisme.
Je considère au contraire, que les décabristes étaient des homologues assez exactes du complot derrière Anckarström (qui fit exécuté comme un "lone wolf" tout en ne pas l'étant probablement) et celui qui déposa Gustave IV Adolphe après une guerre échouée. Il est assez sûr que les décabristes ne partageaient pas le mysticisme ... attendons ... les décabristes n'étaient pas les coupables derrière l'assassinat d'Alexandre II? Alors, le conférencier avait donné une impression un peu fausse. Les décabristes, c'était en 1825. L'assassinat du premier mars 1881, c'étaient les Pervomartovtsi et Narodnaïa Volia.
Là, ils s'agit de socialistes, pas trop loin de la révolution des Œillets (sauf que ceux-ci n'ont pas assassiné Salazar, il était mort, et parce qu'il avait avec son successeur Caetano quasi déjà perdu la guerre coloniale, renverser celui-ci était pas trop difficile. Perdre une guerre, pour un autocrate, ce n'est pas une bonne tactique pour rester en pouvoir, il y en a qui prennent le gouvernement pour responsable de la fortune de guerre, comme il y en a qui le prennent pour responsable des récoltes - et peut-être pas sans raisons. Ça, c'est un peu plus loin des parlemntaristes somme tout assez aristocrates des malfaits contre la monarchie suédoise.
Un autre homme, par contre, "vient de la Suède". Épélons son nom en suédois : Vladimir Iljitj Uljanov (oui, en suédois la lettre "j" s'utilise comme en français "ï tréma"). Il était suédois sur le côté de la grandmère maternelle, la mère de Maria Alexandrovna Blank. Et un peu plus en gématrie, omettons Vladimir parce qu'on peut l'appeler Ilïtch Oulianov, et abrégeons ceci en simple I, omettant le point et l'espace:
I | 73 | 070 | 3 | 570 |
U | 85 | 150 | 8 | +46 |
L | 76 | 220 | 14 | 616 |
J | 74 | 290 | 18 | |
A | 65 | 350 | 23 | |
N | 78 | 420 | 31 | |
O | 79 | 490 | 40 | |
V | 86 | 570 | 46 |
Une gématrie qu'on trouve aussi pour Hitler (en prenant compte des minuscules). Et Vladimir a pour génitif et accusatif Vladimira ou en polonais orthographié Wladimira - ce qui donne 665 ou 666 (sans prendre en compte les minuscules, en les mettant en majuscules). Il était pour ainsi dire aussi Vladimir I de la Russie post-Czariste, ou Vladimir A (665, sans prendre en compte ni minuscules, ni espace).
Oui, les ennemis du Czar avaient sinon tôt, au moins tard, des racines suédoises. Si Ilia Oulianov, le père du révolutionnaire, s'obstinait pour éducation scolaire dans le peuple, sa femme avait une mère d'un pays ou le nouveau régime, Charles XIV (Jean-Baptiste Bernadotte) en 1842 avait proclamé l'éducation obligatoire universelle en 1842 (Folkskolestadgan). "Ab aquilone pandetur malum supra terram."*
"Et dixit Dominus ad me: Ab aquilone pandetur malum super omnes habitatores terrae:"
[Jeremias (Jeremiah) 1:14]
Revenons à ce que l'aïeul du Czar avait essayé à réaliser, avant l'assassinat. L'abolition du servage ... ceci était un peu plus abrupte que pendant le Moyen Âge en France. Les Capétiens le commencent avant St Louis IX, il y a encore quelques serfs en 1789. Mais les capétiens vont dans le même sens que l'abolition du servage, et que Dénikine et Wrangel (qui lui aussi a des racines suédoises, pas tout qui vient de là est mal).
Ensuite, l'industrialisation de Witte vient un peu trop abruptement avant que les réformes agraires font leur bon effet. Déjà des réformes capitalistes de Turgot et Necker, même si le paysannat français à l'époque était plus libre, plus capable de le supporter ...
Ici, par contre, j'arrête pour aujourd'hui, je reviens demain. Ou plus tard ... si je peux.** Disons juste à la fin, si on tient compte de l'espace entre Nicolas et II, ça ajoute 32 à la gématrie, et Nicolas II est donc aussi 699 - voisin de 700, d'une certaine perfection.***
Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
St Josaphat Kunczewyc
évêque de Polotsk, Martyr
14.XI.2017
Notes:
* Déjà vérifié par Gustave II Adolphe, non? ** Je ne suis pas le Panthère Rose dont le slogan en allemand rappelle la promesse de Jésus sur le mont des Olives, à la fin de chaque épisode : "ich komme wieder, keine Frage, heute ist nicht alle Tage". *** Quoique, 700 est aussi la gématrie pour VOLDEMORT - en enlevant T (qui rappelle une croix) ceci devient par contre 616 pour VOLDEMOR.
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