Wednesday, September 16, 2015

Mythologie Nordique - indo-européenne ou proche-orientale? Transmission par Odin?


1) Logothètes à nos mesures, 2a) Le PIE, a-t-il existé?, 2b) Discussion de Proto-Langue Réelle ou Non, approfondie par référence à Ruhlen, 3) Mythologie Nordique - indo-européenne ou proche-orientale? Transmission par Odin?, 4) Corrigeant arte sur Apfel, Pomme, Mela

L'arrière-pensée derrière ces parallèles - et vers la fin je vais un peu finir avec le secret en plus de détail - est que les Aesir étaient des immigrés qui faisaient un charlatanisme énorme, qui, chez les Suédois à l'époque très incultes se solda avec la divinisation et royauté de ceux-ci.

Proche Orient - Egyptien, Canaanéen, Hebreu, Mesopotamien

Les frères Baldr et Höthr remontent à Osiris et à Seth.

Baldr et sa femme Nanna remontent à Osiris et Isis.

Le nom de Nanna à Inanna, version sumérienne d'Ishtar. Et le Sumérien, bien que langue morte restait utilisée comme langue d'érudition jusqu'au Premier Siècle avant Jésus-Christ. Le temps quand je pose Odin historique.

Que Baldr retournera après Ragnarök pourrait être une influence Chrétienne. L'histoire du Baldr très pur tué par son frère aveugle a été considéré comme référence chrétienne aussi. Mais alors Jésus aurait été crucifié par SES frères Juifs aveugles (c'est d'ailleurs l'interprétation de Viktor Rydberg, le mythe serait de la période chrétienne, et à son origine une tapisserie, comme celle de Bayeux, ou Baldr et Höthr étaient utilisés comme allégories pour un contenu chrétien, et après la tapisserie aurait été décrite comme si elle montrait une histoire "non allégorique" et mythologique). Dans ce cas, il y a même un peu davantage de remaniement entre l'original et ce que nous avons que dans mon hypothèse.

Odin, Vilé, Vé tuent Ymer et créent le monde sur son carcasse - librement d'après Marduk et Tiamat.

Les géants issus d'Ymer se noient dans son sang devenu la mer Océanique - librement d'après les néphélim noyés dans le déluge.

Les dieux, créateurs de l'homme après ce déluge, sont en partie issus eux-même des géants - librement d'après une spéculation peut-être déjà en cours, que le gigantisme des néphélim se soit répandu après déluge par une des femmes (porteuse, pas géante) sur l'Arche. Donc l'humanité d'après déluge serait elle aussi en parti d'origine nephelim. Spéculation que je ne sais pas comme documentée pour le premier siècle, mais qui de nos jours est repris par Rob Skiba. Ou peut-être le livre de Jubilées, que je n'ai pas lu, contient ceci. Dans le cas nordique, la mère de Odin, Vilé, Vé s'appelle Bestla, fille du géant Bölthorn.

Le "Marduk" solitaire est remplacé de trois frères dans l'acte de tuer le monstre primordial et de créer le monde sur son carcasse. Reflet des fils de Noé après le déluge. Quoique dans leur cas, ce qui leur restait à bâtir n'était pas le monde au sens cosmique, juste l'oikouméné, la société humaine.

Parmi les géants, un seul avec sa femme survit. Tiré de Noé (ou de n'importe quel avatar païen de lui).

L'homme est créé homme et femme en image des dieux. Tiré de manière simplifié de la création d'Adam et d'Ève.

Deux hommes, c'est à dire un homme et une femme, sont avec Baldr et repeupleront la Terre après Ragnarök. Millénarisme chrétien? Millénarisme préchrétien judaïque? Ou serait-ce une adaptation de Henoch et d'Élie, censés retourner avant (donc avec en quelque manière) le Messie?

Les dieux vont mourir un jour à Ragnarök? Les dieux peuvent mourir, voir Osiris qui est mort, tiré d'Égypte, donc.

Et les parallèles indo-européennes?

Ymer est, comme Mannus de chez les Indiens, bisexué? Ça n'empêche pas une grande différence, Mannus étant plus proche d'Adam comme premier homme, et de Minos (!) et Dédale comme fondateurs de la culture sociétale. Et comme plus proche d'eux qu'à Ymer, aussi plus proche d'eux qu'à Tiamat.

Yggdrasil? Y a-t-il une parallèle en Perse? Même chez les Slaves voisins, paraît-il.

La notion d'Arbre du Monde (ou Arbre-Monde) est un archétype renvoyant, au sein de plusieurs mythologies, à l'existence d'un arbre cosmique reliant les différentes parties de l'Univers – généralement les mondes céleste, terrestre et souterrain.

Cette notion apparait ainsi chez de nombreux peuples indo-européens, tels les Perses, les Slaves et les Germains.


La référence est à Jérémie Benoît, Le paganisme indo-européen, L'Âge d'Homme, 2001, plus précisément aux pp.65-66. Je n'ai pas lu l'œuvre. Il paraît qu'ici est cité une observation générale, découpé des observations spécifiques pour chaque peuple. Je ne sais pas combien ou comment il substantie cette notion en des chapitres consacrés aux Slaves et aux Perses. Juste pour les Germains, il n'y a pas de doute, Yggdrasil et probablement Irminsul aussi. L'arbre sacré des Saxons.

Mais il y a aussi une référence à Mésopotamie. Ningishzida semble être le dragon qui entoure une forme de pilier de monde. Et il y a une parallèle en Wadjet ... Yggdrasil a ses racines dans le monde inférieur et il y a un serpent, Nidhögg.

L'étymologie d'Odin?

On vient de me lancer que Odin ne puisse pas venir de Vodens librement d'après Nodens, puisque ça vient d'un prégermanique Watenos. Mais à ma meilleure connaissance, je suis d'ailleurs en train de completer celle-ci avec une récherche google, Watenos n'existe pas bien documenté comme divinité hormis le germanique. Ni comme démon. Il y a un utilisateur de youtube, il y a une déclinaison latine du lieu-dit flamand Wattens, il y a un mauvais scan pour Quatenus. Mais ... bon, en Sanskrit ça devrait donner Vatanah ... je trouve la première hymne nationale de la Perse, Vatanam Vatanam, aussi en youtube. Ignorant le Farsi, je ne peux pas dire ce que ça veut dire, peut-être avec google et bing? Oui, en Persan vatanam veut dire "maison", en Turc vatana veut dire "patrie" ... en Bosniaque Vatanam épélé en lettres latines donne Vatan, un nom propre.

Semble que pour la première hymne nationale de Perse, la traduction de Lyrics Translate fait de Vatanam "My Fatherland", donc, comme en Turc, patrie.

Puisque je viens de lancer un autre jour que Nodens a pu être le "toutatis" - la divinité de la patrie - là où Odin était druide (si c'était druide qu'il était) je ne peux pas d'emblée exclure que watenos ait quelque chose à faire avec vatana = patrie, ou que Wodens / Odin ait été la divinité d'un patriotisme exaggéré (comme il l'a été plus tard pour des Nazis néo-Odinistes). Mais faudrait avoir une idée si le mot apparaît d'abord en Persan ou en Turc. L'un comme l'autre est compatible avec cette théorie de *Watenos. Qui, comme la mienne, *Vodens < Nodens moins la première haste du N, est une théorie, une hypothèse.

Dans la mesure qu'on ait retrouvé quoique ce soit comme religion pré-germanique, c'est surtout le culte d'une déesse à l'âge de bronze, qui, aux temps de Tacite, semble avoir été prononcée Nerthus.

Si on devait considérer une étymologie pré-germanique de Woden dans la domaine religieuse, pourquoi pas comme WA-Tin ou WO-Tin, ou même WA-Tinia ou WO-Tinia? Tin et Tinia étant les formes étrusques de Jupiter/Zeus. À moins de prendre Vodens < Nodens, bien sûr. Voir plus loin.

Tyr = Tiwaz = ? = Jupiter?

Tiwaz a plutôt une étymologie comme "divus". Et sa fonction ramène mieux à Mars qu'à Jupiter.

Thor = Taranis, Perkunas, Perun?

Voir même Perkele? Fort possible, mais, notons que la parallèle phonétique est plus proche à Taranis qu'avec les autres.

Comme d'ailleurs Nodens (attesté), dans sa forme NODENS n'a besoin que de perdre une ligne pour devenir VODENS, ce qui dans les temps de César n'aurait pas été prononcé [vo:dens] mais [wo:dens]. Ceci est ma propre reconstruction, mais ça ne doit pas ligoter le lecteur si une autre lecture lui paraît meilleure. Une petite polémique à propos *Watenos: pour Odin, Woden, les deux formes sont autant acceptables, *Watenos devenu *Wothinaz autant que *VODENS [wo:dens]. Pour Wotan, les deux formes reconstruites sont autant problématiques, car dans la ligne de *Wothinaz, Wotan reposerait plutôt sur *Wothanaz.

Dans le sens de Thor Heyerdahl, le peuple dont le nom lui paraît l'étymologie, les Udi, a été appelé Quti quelques siècles avant ces temps. Et ceci aurait pu avoir donné lieu à *Guothi, *Gwodi, d'où aussi la Lombard Gotan ou Godan (voir l'origine du nom Lombard dans la Gesta Langobardorum par Paul le Diacre) serait explicable. Avant de devenir en Udi d'abord *Wudi et ensuite le connu Udi.

Frey et Freya?

Pour le masculin, lui aussi l'ancêtre direct des Ynglings, une parallèle (quant à sa "fonction divine", pas tout à fait quant à sa personne historique probable) qui s'impose presque, est celle avec Baal, donc non-indo-européenne. Freya, sa soeur, comme Vénus? Et celle-ci indo-européenne? Autant alors comme une plus générale divinité féminine, Astarte. Mais que l'Odinisme avait une divnité masculine de fertilité, comme les Canaanéens, là où les Païens de Rome et de Grèce avaient plutôt Cérès, Déméter en même temps que Vénus, c'est frappant. Surtout que la religion pré-odinienne quasi connue (en partie des archéologues et en partie de Tacite) avait la déesse Nerthus, quasi Tellus/Cérès ou en Grec Gaia/Déméter.

En plus, le père de Frey deviendra dans les siècles à suivre Niorthr. Il peut avoir été à l'époque Nerthus - au masculin, comme Démétrios (et non pas au féminin comme Déméter). Il peut avoir été un prêtre indigène de Nerthus avant de rejoindre la déception des Aesir. Ou il peut avoir en été partie intégrante dès le début, et ensuite avoir pris le nom Nerthus par adaptation.

Scénario de transmission?

Si Odin était Hébreu ou peut-être même s'il était Druide, moins probable, il a pu avoir une bonne connaissance des mythologies proches-orientales. S'il vivait en même temps de César, mais d'abord beaucoup plus à l'Est, il a pu encore avoir appris le Sumérien et d'avoir étudié la mythologie mésopotamienne ex fontibus. Et si un Hébreu ne prononçait pas les noms des divinités chanaanéennes, il a quand même pu les connaître. Item pour un prêtre égyptien. Hávamál a quasi une résonance du culte très moraliste d'Osiris. Une résonance morale.

Même dans l'hypothèse druide une connaissance superficielle avec les traits des religions païennes proches-orientales n'est pas à exclure d'emblée.

C'est quasiment les Suédois, les victimes de sa surenchère, qui seuls n'ont pas pu se transmettre cette religiosité proche-orientale.

D'où l'intérêt de se poser la question ou de se rendre compte de la possibilité ou probabilité assez forte, que cette transmission ait eu lieu par une personne historique.

Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
Sts Corneille de Rome
et Cyprien de Carthage
16-IX-2015

Monday, September 7, 2015

Jean Blot sur Mozart, après lecture, 1. partie

Jean Blot p. 42

« Quand tu étais petit, tu n’allais jamais au lit sans avoir chanté, débout sur ta chaise Oragnia figatafa, en m’embrassant à plusieurs reprises et en finissant par le bout du nez. Tu me disais alors : ‘quand tu seras vieux, je te mettrai bien à l’abri sous un globe de verre, dans un bocal pour te protéger de l’air, te garder toujours près de moi et continuer à te vénérer’ » On partage l’émotion du père, même si, lecteur de Freud, on sent passer un frisson – ce bocal – dans le dos ! Si docile pourtant ce fils, si respectueux et aimant, assurant : « Tout de suite après Dieu vient papa. »


Freud n’est pas un bon guide. Et le « pourtant » n’a rien de nécessaire. Le bocal peut s’expliquer de deux manières :

  • 1) Wolferl avait noté que des personnes vieilles ne sentent pas toujours très bien, et en envisageant ça, il avait conçu un moyen de garder le respect (si à Salzburg cinq enfants sur sept meurent normalement, comme dans leur famille, l’hygiène n’est pas au niveau de Dourdan à la même époque) ;

  • 2) il avait noté que des vieux attrapaient plus facilement un rhume ou pire quand ils étaient exposés à l’air – et il avait conçu un moyen de protéger son père d’une mort prématurée.
Dans les deux cas, on peut concevoir que Leopold savait très bien de quoi il s’agissait, vu que Wolferl le répétait si souvent. Dans les deux cas, l’évocation de Freud est inutile.

Pourtant, Jean blot défigure une biographie sur Mozart avec cette évocation des « implications » freudiennes qui ne sont pas d’implications (au moins ici !) et des valeurs freudiennes qui ne sont pas des vraies valeurs. Page 40 il vient d’évoquer l’enfance de Wolferl et ajoute :

On peut penser que cette image ne nous habite si bien que parce qu’elle habitait aussi Mozart. Il l’a porté en lui, il en fut marqué. Il y revenait pas comme à un souvenir, mais comme à une inspiration à laquelle il restait fidèle , ou comme à une servitude, mieux une malédiction : cet infantilisme dont, à en croire les contemporains et sa correspondance, il ne fut jamas tout à fait libéré.


« Infantilisme » comme expression n’encombrait sans doute pas trop le vocabulaire de Mozart. Ni des nobles et des gentilshommes dont il partageait en beaucoup le style, mais il ne le partageait probablement pas (direction des musiciens à part ?) dans leurs airs d’officier. Quant au témoignage des contemporains, je ne sais pas de quoi parle Blot, je saurai peut-être (ou, après lecture, je n’ai pas su quand même). Quant au témoignage de sa correspondance, je crois que Blot la lit à travers ses conceptions un peu … pas trop traditionnellement occidentales, comme bien sûr quand il tourne « inspiration à laquelle il restait fidèle » (pas faux) en « malédiction, cet infantilisme » ( faux par contre).

Tolkien aussi considérait son enfance et même chaque enfance normale , ou au moins les goûts et les savoirs de cet âge comme « une inspiration à laquelle il restait fidèle » – bien entendu avec toutes les ressources ajoutées qu’il allait acquérir en devenant adulte (voir On Fairy Stories, le chapitre sur l’enfance). Déraciner et déplacer un arbre est autre chose que de la laisser ou de l’encourager à grandir. Et je partage cette vue.

Notons, Mozart avait un goût, voir un amour des syllabes, italianisantes, et une inventivité qui l’avait poussé à inventer les « mots » sans signification connue de ce chant Oragnia figatafa. Tolkien avait le même goût pour les syllabes – et il utilisait ses ressources de doctrine linguistique pour la satisfaire en inventant des langues, des poëmes avec signification.

Pour retourner aux sottises de Jean Blot, regardons celle-ci (p. 47) :

Leopold connaît ces risques ou les prévoit. Or l’homme n’est pas jeune, ayant quarante ans à une époque où la longévité moyenne est de quarante-cinq ans…


J’aimerais savoir s’où il tient ce renseignement sur la longévité moyenne. Mais j’ai déjà une piste : ça pourrait être un de ces pseudo-renseignements qu’on recycle sur le passé, surtout celui préindustriel. Si on ne tient pas compte des morts en âge d’enfance ou jeunesse, mais compte ça comme une autre histoire que l’expectation de vie d’un homme adulte, cinq siècles plus tôt, celui de St louis, la « moyenne arithmétique » ( ?) ou valeur médiane (c’est le mot utilisé ailleurs) est environ les 60. Un peu plus bas pour la royauté, un peu plus haut pour bourgeois et clergé connus. Imaginer qu’elle ait baissé vers 45 (hormis les victimes de la Révolution française et les guerres ensuivantes) est un peu improbable. Et à la différence de lui, ou de ce qu’il exprime, j’ai une conscience claire que j’annonce aux lecteurs quant à mes sources. J’ai parcouru des noms dans la wikipédie en m’assurant de faire des sélections pas directement basées sur l’âge atteint (hormis l’exclusion normale des morts-en-bas-âge, comme autre question, et comme, hormis royautés, inaccessible).

C’est possible que ce chiffre baissera si on compte la mortalité infantile dedans, qu’il baisse même aux 45 ans. Mais un enfant qui meurt n’était pas un âge de décès comparable au sien pour un homme de 40 – ou de 45. Et la vieillesse en elle-même, comme phénomène physique, dépend de l’âge comme d’un absolu, pas de l’âge comme un relatif aux âges des décédés.Ou encore, si relatif du tout, alors seulement à la génétique (car on avait des génomes ou des télomères différents avant le Déluge – sauf les cas exceptionnels (ou pas tels) quand on vit une vie dure qui vieillit plus vite (mais les éventuels concernés ne sont pas si documentés et étudiés quant à leurs âges de décès). Donc, non, à 40, Leopold était certainement déjà « pas jeune » mais n’était pas encore pour autant « vieux ». Comme aujourd’hui, d’ailleurs. Jean Blot, pour précieux qu’il soit par l’évocation de Mozart en tellement de détails, a une culture déconcertante par le nombre des perspectives et même « simples faits » (quoique longévité moyenne n’en est pas, mais relève de fait dérivé, de conclusion), qui sont carrément faussés.

J'interromps mes notes sur le livre et je vais à l'article Jean Blot (dont la bibliographie ne mentionne pas Mozart/biographie).

Alexandre Blokh, dit Jean Blot, né le 31 mars 1923 à Moscou, est un écrivain, traducteur et haut fonctionnaire français, d'origine russe. Docteur en droit, licencié ès lettres, fonctionnaire international à l'UNESCO, il travaille pour l'ONU dès 1946 et voyage ainsi dans le monde entier. Secrétaire international du PEN club, il crée en 1990 le Pen Club russe.


Ah bon? Peut-être la lecture de Mozart et la désinformation sur « longévité moyenne 45 » viennent d'une éducation communiste et d'un engagement pour l'ONU et pour l'UNESCO, alors. Stranger things have happened, comme on dit en anglais.

Et les Communistes aussi, ils prônent un « maturitisme » devant lequel l'attitude de Mozart pourrait passer pour « infantilisme » beaucoup plus facilement que devant mes yeux ou mon jugement. Un « maturitisme » qui relève très souvent du street smart, donc du cynique en fin de compte, d'une vue pessimiste du passé, édulcorée par un optimisme pas toujours postiche du futur.

Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
Veille de la Nativité
de la Très Sainte Vierge Marie
7-IX-2015

Amazon : Mozart, par Jean Blot
http://www.amazon.fr/Mozart-Jean-Blot/dp/2070338274


La wikipédie : Jean Blot
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Blot