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Saturday, August 12, 2017

Read Today About GT


Modified human crania from Göbekli Tepe provide evidence for a new form of Neolithic skull cult
Julia Gresky, Juliane Haelm and Lee Clare
Science Advances 28 Jun 2017:
http://advances.sciencemag.org/content/3/6/e1700564.full


Citing:

Against the background of available archaeological and ethnographic evidence, two interpretations of the carved skulls from Göbekli Tepe are presented. These interpretations are connected to ancestor veneration or the display of dispatched enemies through either active “branding” of individuals or functional modification of the skull for display.


I second the latter interpretation : display of dispatched enemies.

If my own theory of Göbekli Tepe is correct, the thousand carbonic years represent 40 actual years and a rapid rise in carbon 14 content. It is the traditionally 40 years of Babel, described in Genesis 11.

In Genesis 10 you find Nimrod described as a "mighty hunter before the Lord". Tradition adds he was a manhunter, he was heading Babel project, it lasted 40 years of building effort before dispersion of nations through confusion of tongues.

And I guess the enemies were simply shirkers, Nimrod was showing his skill as a "manhunter" or "headhunter"./HGL

PS, if you know about Rosemary Kennedy, you might know what I mean there could have been a recent pre-mortem incision. In terrorem./HGL

Monday, August 29, 2016

Les Parents de St François de Sales


Sa maman était plus jeune que son papa:

Par une lettre de décembre 1593, saint François de Sales nous apprend qu’à cette date sa mère était dans sa quarante-deuxième année. Ainsi elle était née en l’an du Seigneur 1552, au château de Boisy. Prénommée au baptême Françoise, elle était fille unique de Melchior de Sionnaz, seigneur de la Thuile et de Vallières, et de son épouse damoiselle Bonaventure de Chevron-Viliette. Les Sionnaz descendaient de haute et antique lignée, voire même impériale et royale, s’il faut en croire l’historien Charles-Auguste de Sales. « Voudrais-je, a-t-il écrit, remonter par Albérade de France, je pousserais notre généalogie jusqu’à l’empereur et roi Charlemagne de qui descendirent Louis le Débonnaire, Charles le Chauve, Louis le Bègue, Charles le Simple, Louis d’Outremer qui de Gerberge de Saxe eut notre Albérade. » Françoise de Sionnaz passa sa petite enfance aux « château, terre et seigneurie de Boisy1, estimés mille et huit cents écus d’or ». Et elle n’avait pas encore ses huit ans lorsque, sans qu’elle l’eût cherché bien sûr, il fut décidé de son avenir.

Le 12 mai 1559, un gentilhomme de la contrée, Louis de Sales, seigneur de Brens, convolait en justes noces avec damoiselle Janine de Guasquis. Étaient de la fête une foule de gens nobles, parmi lesquels on distinguait Melchior de Sionnaz et son épouse. Ils avaient amené avec eux leur fille Françoise. Gracieuse et candide, celle-ci fit sensation. Et la noce finie, quelque chose d’inattendu arriva. Le second des fils de Sales, François, cadet du marié, avait observé l’aimable petite dont le charme l’avait soudainement conquis.

Dans une visite qu’il fit peu après aux de Sionnaz, sans prendre de détours, il leur confia son sincère désir d’avoir un jour pour femme leur petite Françoise. Encouragé par un accueil étonné mais cordial, il conta brièvement son histoire. Né au château de Sales en l’Épiphanie de 1522, il était devenu à seize ans page-écuyer de son propre parrain, le prince François de Luxembourg, gouverneur de Savoie et vicomte de Martigues. Six ans plus tard, officier de cavalerie, il prenait part aux côtés du roi de France François 1er à la guerre contre l’empereur Charles-Quint allié du roi Henri VIII d’Angleterre. Et François de Sales ne put cacher qu’il s’était comporté en brave. En effet, assiégé pendant quarante jours par l’empereur Charles dans la place forte de Saint-Dizier-sur-Marne, il avait tenu bon à la tête de sa compagnie. Le siège de Landrecies lui offrait ensuite l’occasion de semblables exploits. Enfin, la paix revenue, il avait rempli des missions importantes, notamment à la cour de France auprès de Sa Majesté Henri II. Après une existence aussi mouvementée, resté célibataire, il s’était retiré, à trente et quelques années, au château familial de Thorens, ne gardant de sa vie militaire qu’une seule fonction : celle de « capitaine de la garnison d’Annecy ». À la guerre, aux va-et-vient et aux intrigues de la diplomatie il préférait sa situation de propriétaire terrien en son domaine de Sales. Sans se flatter, il pouvait se dire heureux de son lot, « le revenu, pour ce seul domaine de Sales, étant de quinze mille livres qui servent autant en Savoie que trente mille en France ».

La grande différence d’âges étonnerait moins quand Françoise de Sionnaz aurait achevé sa croissance. Du côté de la fortune les situations paraissaient égales. Et puis le prétendant était bon catholique : sans être d’une piété très expansive, il pratiquait exactement sa religion.

...

Ce fut quand même un mariage peu ordinaire : ce gentilhomme de quarante-quatre ans et cette adolescente qui approchait de ses quatorze ans. Mais la coutume du temps autorisait dans les familles seigneuriales de telles alliances. La cérémonie eut lieu « à la face de l’Église, » comme dit un témoin de cette époque, au printemps de 1566, et la jeune châtelaine vint habiter le château de Thorens avec le seigneur François de Boisy, son légitime époux.


la maman saint françois de sales - Saint Rémi
saint-remi.fr/es/index.php?controller=attachment&id_attachment=43


Voir aussi: Amazon : Mgr Francis Trochu,... La Maman de saint François de Sales
https://www.amazon.fr/Francis-Trochu-Maman-saint-Fran%C3%A7ois/dp/B0014OLICK


Et si la coutume du temps l'autorisait, le dogme catholique aussi. La loi canonique aussi.

Quand à la qualification "dans les familles seigneuriales", il faut savoir que les autres ne devaient que rarement attendre jusqu'à 44 avant qu'un homme puisse se marier ... à part peut-être dans la haute-bourgeoisie, où également des délais imprévus pouvaient s'installer en termes de questions de carrière. Les paysans et les berger se marièrent plus vite, pas mal, à moins d'être empêchés par pauvreté, assez vite après les 14 ans requis pour les garçons.

Hans Georg Lundahl
BU de Nanterre
Décapitation de St Jean Baptiste
29.VIII.2016

Tuesday, April 21, 2015

On Discretion and Hypocrisy

Multis autem turbis circumstantibus, ita ut se invicem conculcarent, coepit dicere ad discipulos suos: Attendite a fermento pharisaeorum, quod est hypocrisis. And when great multitudes stood about him, so that they trod one upon another, he began to say to his disciples: *Beware ye of the leaven of the Pharisees, which is hypocrisy.
 
Nihil autem opertum est, quod non reveletur: neque absconditum, quod non sciatur. For there is nothing covered, that shall not be revealed: nor hidden, that shall not be known.
 
Quoniam quae in tenebris dixistis, in lumine dicentur: et quod in aurem locuti estis in cubiculis, praedicabitur in tectis. For whatsoever things you have spoken in darkness, shall be published in the light: and that which you have spoken in the ear, in the chambers, shall be preached on the house-tops.
 
Dico autem vobis amicis meis: Ne terreamini ab his qui occidunt corpus, et post haec non habent amplius quid faciant. And I say to you, my friends: Be not afraid of them that kill the body, and after that have no more that they can do.
 
Ostendam autem vobis quem timeatis: timete eum qui, postquam occiderit, habet potestatem mittere in gehennam: ita dico vobis, hunc timete. But I will shew you whom ye shall fear: fear ye him who, after he hath killed, hath power to cast into hell. Yea, I say to you, fear him.


Latin text from:
Latin Vulgate (Clementine), St. Luke 12
http://drbo.org/x/d?b=lvb&bk=49&ch=12&l=3#x


English text from:
Haydock's Catholic Bible Commentary, 1859 edition. St. Luke Chapter 12
http://haydock1859.tripod.com/id76.html


This site gives two comments to the verses cited:

Ver. 1. Beware ye of the leaven, &c. Christ calls the hypocrisy of the Pharisees leaven, which changes and corrupts the best intentions of men; for nothing is more destructive than hypocrisy to such as give way to it. (Theophylactus)

Ver. 3. House-tops. Our divine Saviour speaks here according to the custom of his own nation, where it was not uncommon for men to preach from the house-top, when they wished to deliver any thing to the public; for their houses had flat roofs. (Ven. Bede)

Neither of these makes it clearly doubtful what came to my mind, that discretionism, relying on certain words remaining betwen closed doors, is a kind of hypocrisy./HGL