On m'a demandé pourquoi je suis converti au catholicisme

Simplement, c'est l'Église que Jésus-Christ, Notre Sauveur et Seigneur, fonda.

Plus en détail : ce n'est pas recevable de dire que celle-ci ne serait pas accessible et identifiable. Il a dit : une ville fondée sur une montagne ne peut pas être caché. Encore, l'Église qu'Il fonda est "pilier et fondement de la vérité" donc comparable à une lampe. Mais nul ne va allumer une lampe pour la mettre sous le boisseau. Et encore, Il l'a promis directement, disant aux 11 Apôtres qu'Il sera avec eux tous les jours (pas juste toujours, mais, tous les jours) et que des signes les suivront.

Encore plus en détail : donc, ce ne peut pas être une église issue de la Réforme. Celles-ci prétendent normalement, soit sue la vraie église aurait sombré et devait être purifié des siècles après d'avoir sombré, soit qu'elle ait cessé d'exister et soit revenue à l'existence grâce à la Réforme. Cette dernière version est davantage logique mais aussi plus directement contre les Promesses, je ne sais pas s'il y a qui le prétendent à part la mouvance restaurationniste (dont Church of God ou T de J). Et encore améliore leur théologie, mais empirent leur histoire en prétendant que la vraie église aurait toujours existé à côté de l'Église catholique, sous divers noms.

En Suède, l'Église dite "apostolique" (non issue de la réforme, mais prétendant être en continuité directe avec la première église, donc identique) était au moins la Moyen Âge classique comme tardif l'Église catholique. Certains voudraient prétendre qu'il y ait eu des "orthodoxes" (mais avant le schisme de 1053, donc tout aussi catholiques, selon l'ecclésiologie catholique) en Suède pendant le Haut Moyen Âge, les siècles considérés comme païens ... mon choix entre Catholiques et Orthodoxes a pu être superficiel, celui contre le Luthéranisme ne l'était pas. (Après, j'ai essayé les Orthodoxes, et je suis revenu).

À part l'impossibilité théologique d'une réforme comme envisagé par les frères Petri et Gustave Wasa, elle a été violente et révolutionnaire. On avait des lycées au Moyen Âge, les lycées protestants datent de la reine Christina, arrière-petit-fille du roi Réformateur./HGL